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IGNare Online

5 février 2008

Pfffffff

Alors là, c'était vraiment trop moche comme site ...
devant le bordel et la non-lisibilté du site, je vous informe que la nouvelle rédaction de l'IGNare est en train de réflechier à un réaménagement de ce blog.

En attendant, si vous en avez le courage, vous pouvez vous ballader librement sur le site.

Bonne lecture aux courageux.

PJ, Rédac' Chef (autoproclamé)

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23 janvier 2008

Facebook

Facebook est un site web de réseau social destiné à rassemb … je vais arrêter ici la définition wikipedia, car l’IGNare est avant tout un journal d’investigation qui ne se contente pas des infos données par les autres mais qui dépêchent sur place ses reporters les plus courageux. Ainsi Tim, entre 2 tranches de foie gras (celle du 24 et celle du 31), n’hésita pas à sacrifier de son précieux temps pour vous faire découvrir de l’intérieur ce site aux allures de buzz de l’année 2008 :

 

Friedrich Nietzsche a dit : « Connaître, c'est comprendre toute chose au mieux de nos intérêts. » Ce qui, il faut bien l’admettre, n’a aucun rapport avec le sujet qui nous préoccupe.

En effet, je suis parti d’un constat très simple : A l’école, nous avons souvent accès aux ordinateurs que ce soit pendant les pauses ou pendant les cours (mais, bien entendu, personne ne navigue sur le net pendant les cours) et nous ne les utilisons que trop peu. Dès lors, il est nécessaire de trouver une solution qui nous permette de faire passer le temps plus vite, tout en ne demandant pas une concentration trop importante.
La première solution a été suggérée par E****, qui a tout d’abord proposé le visionnage de ses vidéos préférées sur Dailymotion. Cependant, les sites de streaming ne fonctionnent pas sur tous les postes et je n’avais pas assez de mouchoirs à donner à E**** qui décidément est très souvent enrhumé…
Après cette première tentative avortée, la seconde s’avéra fructueuse. Nous nous sommes dirigés sur un autre site à la mode (parce que même si elle s’en va au Mans, l’ENSG est une école de d’jeuns branchés) : FACEBOOK.
Et là, ce fut le bonheur. Des quizz idiots, des tests pas plus intelligents, des jeux débiles, des illusions d’optique reprises dans les cours de Laure Chandelier…Bref, un paradis : Nos amis Geeks se livrent une guerre sans merci entre vampires et zombies, certains créent des groupes pour rallier des gens à leur cause (récemment ouverts, le groupe ENSG par Adrien, et le groupe « pour le retour à l’antenne de l’émission Made in Palmade » par PJ) d’autres enfin se servent de ce site comme ils se servent du site « copains d’avant » pour retrouver leurs ex-camarades de classe. Ainsi, une bonne partie de la promo IT1 a créé un compte sur Facebook et a rejoint le groupe ENSG (à vrai dire, seul E**** refuse l’hégémonie Facebook et reste fidèle aux vidéos de L. Manaudou sur Dailymotion). J’espère vous avoir donné envie de vous inscrire, toujours est-il que les IT1 vous attendent sur Facebook (dont la devise pourrait être : « toi aussi, viens poker tes friends » - cette phrase sera expliquée à toute personne créant un compte sur facebook et rejoignant le groupe ENSG)

Tim

23 janvier 2008

Instantanéisme

« C’était mieux avant … » comme dirait Francis (mais non, pas Lalanne, Cabrel). Le fait est que, aujourd’hui, nous vivons dans un monde où l’action prime sur la réflexion, où l’instant prévaut toujours à la durée et je trouve cela bien dommageable.

En exergue de cette idéologie, le nouveau gouvernement et « la méthode Sarkozy » : des attaques de chiens dangereux sont relatées dans la presse ? Notre bon président prend la parole et promet de nouvelles directives. Les sans-abri envahissent les berges du canal Saint-Martin ? Nouvelles promesses, et l’action sur la durée que réclamaient les enfants de Don Quichotte et son meneur, Augustin Legrand, est oubliée. D’ailleurs, quand bien même le bougre aurait-il envie de reconduire son coup d’éclat un an après, un car de CRS promptement expédié et une aventure sentimentale romanesque avec une star, momentanément mannequin puis chanteuse avant d’être première dame de France (et après, on soutient que les promotions canapé n’existent plus…), permettent à Sarko d’étourdir l’opinion publique et d’envoyer dans les limbes la crise du logement dans la même demi-journée.

Mais revenons plutôt sur un de ces évènements journalistico-médiatique qui ont marqué nos vies quelques semaines durant:

Vous ne l’avez peut-être pas encore oublié, au début de l’année 2006, la panique et la peur s’emparaient des foyers français, désemparés quand dans leur télévision, journaux TV et émissions spécialisées se relayaient pour faire naître la psychose de la grippe aviaire au sein du charmant village de Joyeux (où l’on retrouva mort le premier volatile sur le territoire français) et pour faire grandir la paranoïa chez des gens qui avaient jusqu’alors déjà bien assez à faire avec leurs soucis habituels. Ce que l’on oublie plus facilement c’est la raison pour laquelle cette plaie sensée s’abattre sur la Terre entière et décimer l’humanité a disparue de notre quotidien. Allez, petit travail de recherche intellectuel : que s’est-il donc bien passé en février-mars 2006 qui a tant intéressé les journalistes au point de ne plus parler du virus H5N1 ? Pour les poissons rouges (et ils sont, paraît-il, nombreux à l’école) à la mémoire plutôt courte, il s’agit du CPE de l’ex-futur candidat à la présidence de la république, Dominique De Villepin (on pourrait d’ailleurs avoir fort à redire sur l’affaire qui l’a assassiné avant le début de la campagne, Clearstream, véritable magouille ou vaste complot pour éliminer un candidat sérieux en face de Sarkozy ? Mais, là n’est pas la question qui nous intéresse à l’instant – et oui, moi-même je sombre fréquemment et aisément dans l’instantanéisme). Alors à tous ceux qui pensent que les manifestations lycéennes et les lois votées à l’époque n’ont servies qu’à semer la confusion et la zizanie dans le pays je réponds que le CPE était paradoxalement le vaccin le plus radical contre la grippe aviaire que l’on puisse trouver (parfois les scientifiques se font, hélas, surclassés dans leur propre domaine par des politiques).

Là où le bas blesse, c’est quand cette idéologie, insidieusement ancrée dans notre nouvelle société telle que nous la créons (Buzz du mois, Zapping de la journée, Best-of de la semaine, etc.) se retourne contre ceux qui la manipule. En effet, à l’instar d’une grenouille que l’on plongerait dans une casserole d’eau bouillante, nous sommes capables de réagir rapidement et de bondir pour éviter une mort trop certaine, néanmoins, il se trouve qu’une grenouille dans une casserole d’eau froide réchauffée lentement jusqu’à ébullition, n’aura pas l’idée de sauter hors de ce piège. Et nous ne nous avérons pas plus intelligents qu’elle. Il nous est effectivement impossible de réaliser que cette culture de l’instant nous fournit un monde où l’écologie, la construction d’un avenir serein, la mise en place d’un œcuménisme pacifique ne peuvent être que secondaires face à la nécessité de se mouvoir (plus ou moins fréquemment) en voiture ou en avion, ou face à des images de meurtres en plein cœur d’un conflit armé ou de lambeaux de chaire sanguinolentes jonchant le sol d’une rue, témoins récents d’un attentat meurtrier, qui ne se fait l écho que d’une réponse immédiate à un problème dont on ne parlerait plus.

Et cette volonté d’inscrire l’instant dans nos vies, comme le « Carpe Diem » d’Horace le préconisait déjà, est fortement défendue par certains des esprits les plus éclairés du XXème siècle comme en atteste ces propos de Franz Kafka : « Celui qui pourvoit uniquement à l’avenir est moins prévoyant que celui qui ne pourvoit qu’à l’instant, car il ne pourvoit même pas à l’instant, mais seulement à sa durée. ».Certes, l’exaltation procurée par l’instant de joie volé que nous recueillons est grandissime, et à vouloir trop planifier une vie, on en oublierait presque de vivre, il n’empêche que loin des arguments de poètes les cataclysmes que peut déclencher ce mode de vie pourraient s’avérer tragiques. A ne pas prendre suffisamment de recul, on en arrive à perdre tout raisonnement et à laisser s’envoler notre conscience avec le déluge d’informations quotidiennes qui bercent désormais nos journées et nous laissent avec l’esprit vaporeux dans l’amère illusion que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes.
« Suave, mari magno turbantibus aequora ventis, E terra magnum alterius spectare laborem. » (Lucrèce, De rerum natura, II, 1, 2)

PJ

 

23 janvier 2008

Le trop de la balle Version ENSG

 

 Inventé il y a deux ans de cela, le trop de la balle s’offre une cure de jouvence dans les colonnes de l’IGNare. Le principe de ce jeu (débile) ? Il est très simple, il vous faut retrouver dans le paragraphe suivant 10 noms d’enseignants de l’ENSG :

 Je me promenais dans la campagne avoisinante, je longeais un champ de lierre en fleur, quand en haut d’une côte, j’aperçus en bas, là-bas (ne serait-ce qu’une illusion ?), le maire de cette si belle ville de Joinville. Je le rejoignis et nos avis concordèrent :

 « Il est beau ton village, je l’aime beaucoup.
 -Tu n’as qu’à servir sous mes ordres !
 -Maintenant que tu m’as dit ça, rejoindre ta liste ne me plaît pas, je ne suis ni arriviste, ni colon, et comme je ne suis pas d’ici…
 -Viens, nous allons en parler autour d’un verre, « Chez Dom », le bistrot du centre, tu connais ? »

 Et ma promenade prit soudainement fin, et l’alcool aidant, j’oubliai jusqu’à cette conversation (je ne m’en suis souvenu que ce matin).

PJ

23 janvier 2008

Recette : Tartines tomates-mozzarella

Prix : environ 1€ par personne
Temps de préparation : 30 minutes
Ingrédients : (pour 4 à 6 personnes)

  • 1      (gros) oignon
  • 1      boîte de tomates concassées
  • 1      pain de campagne
  • 1      boule de mozzarella
  • Du      sucre en poudre
  • Herbes      de Provence (ou, en saison, des feuilles de basilic)
  • Huile      d’olive
  • Sel,      poivre
  • Quelques      gousses d’ail (facultatives)

Matériel : un four ou la fonction grill de certains micro-ondes

Préparation :

  • Couper      le pain en tranches épaisses (2cm environ). Prévoir 2 tranches par      personne.
  • Disposer      les tranches sur une grille et les passer sous le grill du four.      Attention, il faut surveiller !! Les griller des deux côtés.
  • Couper      l’oignon assez fin. Le faire revenir à feu moyen dans l’huile d’olive,      dans une casserole, jusqu’à ce qu’il soit doré et fondant.
  • Dès      que l’oignon est prêt, ajouter la tomate. Ajouter aussi 2 bonnes cuillères      à soupe de sucre (ça enlève l’acidité de la tomate). Laisser mijoter en      remuant de temps en temps pendant 15 min environ. Saler, poivrer et      ajouter une bonne pincée d’herbes de Provence.
  • Pour      les amateurs, éplucher l’ail et enlever le germe (la partie centrale et      verte de la gousse, qui est indigeste). Frotter les tranches de pain      grillé à l’ail.
  • Couper      la boule de mozzarella en tranches fines.
  • Confectionner      les tartines : sur les tranches de pain, disposer de la sauce tomate      (plus il y en a, mieux c’est) puis les tranches de mozzarella, afin      qu’elles recouvrent la tartine. Ajouter une pincée d’herbes et un filet      d’huile d’olive.
  • Faire      griller les tartines jusqu’à ce que la mozzarella soit bien fondue
  • Servir      avec une salade verte (arrosée d’un soupçon de vinaigre balsamique) et      éventuellement avec une tranche de jambon cru italien.

 

Conseil du sommelier : Pour vous désaltérer, je vous conseille une bouteille de Martini rouge, qui saura relever le goût d’un plat déjà intense au palais.

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23 janvier 2008

Rétrospective

Jeudi 13 décembre 2007, 22h12 :

La tension est palpable, le suspens est à son comble. Les candidats à la présidence du BDE n’ont plus d’ongles depuis déjà une heure. Les résultats sont imminents, et dans l’attente incertaine des résultats du premier tour, le doute s’installe…

Même soirée, 23h23 :

L’intensité dramatique atteignit son paroxysme à l’annonce de la victoire de la liste « Still in BED (et eux) » emmenée par Adrien. La suite reste à écrire, alors j’aimerais me pencher plutôt sur cette campagne BDE (qui déboucha sur cette soirée si exaltante), ouverte depuis le mois de septembre en IT1 et peut-être même avant pour quelques autres.

(Attention, début de Flash-back, texte flou)

Valloire. Le grand air, les activités sportives se multiplient, les soirées aussi. Après quelques verres, les esprits perdent de leur clarté, certaines langues se délient. Très rapidement, la présidence du BDE s’infiltre insidieusement dans les conversations « et là, c’est le drame »… En effet, deux clans se créent et s’observent en chiens de faïence. Irrémédiablement, inéluctablement, l’affrontement se précise : d’un côté, ceux pour qui la campagne BDE ne signifie encore rien pour l’instant, de l’autre, François et Adrien se battant pour servir du taboulé au plus grand nombre de personnes dans l’espoir de glaner quelques maigres promesses de vote (nous constatons ici que, si le pathétique ne tue pas, il ne rend pas nécessairement plus fort). Fort heureusement, de retour à Marne-la-Vallée, les esprits se calment et cette agitation incongrue s’avère n’être qu’une fausse alerte. Ainsi pendant de nombreuses semaines, les seules évocations de la présidence du BDE sont à attribuer à Guillaume qui distribue les postes de « respo » généreusement (et aléatoirement ?), allant même jusqu’à créer des emplois aussi fictifs que le poste de « respo’Lorraine » (mais c’est qui ce Lorraine ? – hum, désolé, la tentation était trop forte). En somme, l’école respire – enfin pour l’instant …

Novembre. Dans le froid manteau d’hiver déjà naissant de la Seine-et-Marne, les velléités reprennent vie. Cette fois-ci, les listes se forment, se structurent et s’ordonnent. A l’approche de la soirée fatidique, la première offensive est portée par Guillaume et ses photos humoristiques : la liste R.I. frappe un grand coup d’emblée dans la campagne (grand coup proche du chant du cygne pour son président qui se fait discret par la suite). Et pendant que les affichettes du GENS (François) et d’Adrien (le nom de la liste n’aurait été trouvée que deux jours avant l’élection) pullulent, Brice nous gratifie d’une entrée en matière couill… (Euh, comment le dire moins vulgairement ? Ah oui) …osée. Puis vient le tour de Jean et Grand, réunis sur la liste « Twin Towers», dont le programme très clair et très attirant leur a ouvert les portes du second tour (pour rappel, voici, en substance, ce qu’ils proposaient : « nous ne pouvons pas être élus pour un an, donc votez pour nous, nous organiserons 2 soirées gigantesques avant de procéder à de nouvelles élections la semaine prochaine »). La multiplication des candidatures se poursuit ensuite avec les IT3 et la liste « Les restes du monde », avec à sa tête Marion, qui postulait pour un 2ème mandat en 3 ans,et qui promettait un strip-tease en cas de victoire électorale, enfin, la dernière semaine arrive et voit l’émergence des invités surprises (qui a dit qu’ils avaient cassé un carreau pour rentrer ?), les G1 et leur courageuse liste « le point G ».

(Attention, fin de Flash-back, texte flou – encore)

La suite, vous la connaissez si vous étiez à la soirée. Et si vous n’y étiez pas, sachez qu’une soirée ne se raconte pas (par pudeur pour ceux qui ne s’en souviennent pas), mais que nous assistâmes à deux tours lors de ces élections avec des scores que tout le monde oublia très vite, puis Adrien fut consacré à la présidence du futur BDE et resta ainsi jusqu’à 6h du matin pour nettoyer la salle, en compagnie de quelques nouveaux (des respos soirées et la trésorière) et de quelques anciens du BDE sortant.

 

[Hors sujet : A propos de nettoyage, Adrien, Elodie et moi-même tenons à remercier les apprentis peintres qui ont choisi d’effectuer de légères retouches dans les couloirs de Score Services à proximité de la salle (Artiste ayant vraisemblablement choisi l’anonymat pour son passage à la postérité) et les toilettes du foyer (non, non, jamais de nom dans l’IGNare, sois tranquille R*****). Ce fut pour nous un réel plaisir de passer plus d’une heure de la soirée à faire ce type de nettoyage.]


 

PJ

23 janvier 2008

Résultats sportifs

Football :

 

ESA – ENSG = 3-3

PGSM – ENSG = 1-6

ENSG – EIVP = 3-4

ENSG – Sup’Info = 0-3 (Forfait)

 

                                                                                                           
 

 

 
 

Equipe

 
 

Pts

 
 

J

 
 

V

 
 

N

 
 

D

 
 

Bp

 
 

Bc

 
 

1

 
 

ESA

 
 

11

 
 

4

 
 

2

 
 

1

 
 

1

 
 

14

 
 

9

 
 

2

 
 

Sup’Info

 
 

11

 
 

4

 
 

2

 
 

1

 
 

1

 
 

11

 
 

10

 
 

3

 
 

PGSM

 
 

11

 
 

4

 
 

2

 
 

1

 
 

1

 
 

13

 
 

16

 
 

4

 
 

ENSG

 
 

7

 
 

4

 
 

1

 
 

1

 
 

2

 
 

12

 
 

11

 
 

5

 
 

EIVP

 
 

7

 
 

4

 
 

1

 
 

0

 
 

3

 
 

10

 
 

14

 

 

A venir :

 

17/01 : ENST – ENSG

24/01 : ENSG – ESTP

31/01 : ESPCI – ENSG

07/02 : ENSG – EBS

 

 

Handball :

 

ENSEA – ENSG = 29-8
ESSEC – ENSG = 15-0 (Forfait)
IGS – ENSG = 0-15 (Forfait)
ILEPS – ENSG = 32-10
Ecole des Cadres – ENSG = 0-15 (Forfait)

 

                                                                                                                             
 

 

 
 

Equipe

 
 

Pts

 
 

J

 
 

V

 
 

N

 
 

D

 
 

Bp

 
 

Bc

 
 

1

 
 

ILEPS

 
 

15

 
 

5

 
 

5

 
 

0

 
 

0

 
 

105

 
 

28

 
 

2

 
 

ESSEC

 
 

12

 
 

5

 
 

4

 
 

0

 
 

1

 
 

73

 
 

42

 
 

3

 
 

ENSEA

 
 

11

 
 

5

 
 

3

 
 

0

 
 

2

 
 

104

 
 

64

 
 

4

 
 

ENSG

 
 

8

 
 

5

 
 

2

 
 

0

 
 

3

 
 

48

 
 

76

 
 

5

 
 

Ecoles des Cadres

 
 

3

 
 

5

 
 

1

 
 

0

 
 

4

 
 

15

 
 

60

 
 

6

 
 

IGS

 
 

0

 
 

5

 
 

0

 
 

0

 
 

5

 
 

0

 
 

75

 

 

 

A venir :

 

17/01 : Univ Paris 5 – ENSG

31/01 : ENSG – Univ Paris 7

07/02 : ENSG – ESTP

21/02 : Supméca – ENSG

13/03 : CERSTI – ENSG

 

 

Volley :

 

ENSG – ESO = 0-3

Centrale – ENSG = 2-1

Univ Paris 2 Melun – ENSG = 2-1

ENS Cachan – ENSG = 3-0

(À venir)

10/01 : Polytechnique – ENSG

17/01 : LEGTA – ENSG

 

Classement actuel :

 

                                                                                                                               
 

 

 
 

Equipe

 
 

Pts

 
 

J

 
 

V

 
 

D

 
 

Bp

 
 

Bc

 
 

1

 
 

ESO

 
 

6

 
 

3

 
 

3

 
 

0

 
 

8

 
 

1

 
 

2

 
 

Polytechnique

 
 

5

 
 

3

 
 

2

 
 

1

 
 

6

 
 

3

 
 

3

 
 

Centrale

 
 

5

 
 

3

 
 

2

 
 

1

 
 

4

 
 

5

 
 

4

 
 

ENS Cachan

 
 

4

 
 

3

 
 

1

 
 

2

 
 

5

 
 

4

 
 

5

 
 

ENSG

 
 

4

 
 

4

 
 

0

 
 

4

 
 

2

 
 

10

 
 

6

 
 

Univ Paris 2 Melun

 
 

2

 
 

1

 
 

1

 
 

0

 
 

2

 
 

1

 
 

7

 
 

LEGTA

 
 

1

 
 

1

 
 

0

 
 

1

 
 

0

 
 

3

 

 

23 janvier 2008

Mot du capitaine | Football

L’équipe de foot de l’ENSG existe depuis longtemps, contrairement à l’équipe de volley qui est toute récente, cependant elle a toujours eu besoin de joueurs venants de l’ENPC. Alors cette année c’était déjà un petit exploit que de présenter une équipe 100% ENSG.

 

Pour cela, on peut remercier les anciens comme Thomas Hauswalt, mais aussi les joueurs des autres équipes de l’ENSG, comme le vigoureux Adrien Chassard et le roublard Damien Guyot (équipe de volley), sans oublier l’imparable gardien Renaud Burck et l’inoubliable Guillaume Olive (équipe de hand), qui nous ont permis d’enrichir notre effectif.

 

La grande force de cette équipe reste néanmoins son noyau dur avec les incontournables que toute la France nous envie. Cette équipe n’est cependant pas une somme d’individualité mais un groupe d’homme qui partage des passions et des ambitions communes, le foot, l’envie de s’amuser et de gagner ! Eh oui j’ose l’écrire c’est avant tout une équipe de gagnants.

 

Le premier match fut le révélateur d’un mental à toute épreuve, en obtenant le match nul 3-3 alors que nous étions menés 3-1. Le deuxième match fut une référence, en effet en gagnant 6-1, l’équipe dévoile tout son potentiel. Enfin, le troisième match perdu 4-3 nous a permis de prendre conscience du travail qu’il nous reste à accomplir pour faire partie des tous meilleurs, mais aussi des grandes qualités humaines qu’elle possède en perdant dignement.

 

Saluons donc les impassables Médéric Gravelle et Sylvain Dauriach, les courageux Paul Bouquet et Antoine Larribau, les dribbleurs Rodolphe Jamo et Elias Ababou et enfin, les buteurs Momo, P-J L’Horset et Alex Bertrand.

 

Pour finir, nous allons enchaîner les matchs en janvier. J’espère donc que je pourrais encore compter sur tout mon effectif, ainsi que sur l’apport indispensable des joueurs des autres équipes de l’ENSG. Si d’autres joueurs veulent renforcer l’équipe, ils sont les bienvenus pour une année 2008 pleine d’espoir.

Sergio

Ps : les kékés sont priés de venir jouer les matchs au lieu d’aller chez le coiffeur.

 

[NDLR : L’ailier furtif entraîneur-joueur de l’équipe semble trop modeste pour se rendre hommage lui-même. Alors comme il le mérite pour sa patience et sa clairvoyance tactique, un grand bravo de la part de l’équipe.]

23 janvier 2008

Horoscope 2008

Bélier (21/03 – 20/04) : Cette nouvelle année s’annonce pleine de bonnes rencontres, cependant méfiez-vous des géomètres et soyez prudents sur la route.

 

Taureau (21/04 – 21/05) : Pluton, bien que ce ne soit plus une planète, favorise vos recherches de stage.

 

Gémeaux (22/05 – 21/06) : La schizophrénie vous guette en fin de soirée, faites-y attention. Et travaillez les maths.

 

Cancer (22/06 – 22/07) : Evitez l’avion, Mars rencontre Saturne dans la conjonction d’Uranus, et comme chacun sait les cancers ont alors le mal des transports, sauf en bateau et le mardi.

 

Lion (23/07 – 23/08) : Tout va bien, mais gare aux retards matinaux lorsque la lune est pleine (ainsi que le jeudi matin).

 

Vierge (24/08 – 23/09) : Cette année ne sera pas celle du changement, rien à craindre donc, continuez comme avant, les astres vous sont favorables, à moins que vous soyez né(e) un jour pair, auquel cas, prenez garde aux intoxications avec la viande du self.

 

Balance (24/09 – 22/10) : Evitez les places du fond en classe, vous pourriez devenir myope comme le suggère la pâleur du deuxième anneal de Jupiter.

 

Scorpion (23/10 – 22/11) : Les maladies hivernales vous harcèlent, mais ne portez pas d’écharpes, Mars suggérant un étouffement potentiel. Côté cœur, attention aux béliers qui vous tromperont.

 

Sagittaire (23/11 – 21/12) : Les astres vous conseillent la Tecktonik au réveil, même si Elisabeth Tessier vous affirmera le contraire. Pas de record du monde du 100 m pour vous cette année.
 

Capricorne (22/12 – 20/01) : La sobriété est mère de fidélité, et l’asthme est dangereux pour la santé. Vénus et Mercure vous joueront de sacrés tours si vous ne prenez pas en considérations ces deux vérités.

 

Verseau (21/01 – 19/02) : Vous aurez des problèmes d’argent et de cœur, du fait de l’alignement d’Uranus et de Neptune, mais sinon tout va bien à part peut-être dans votre famille.

 

Poissons (20/02 – 20/03) : Le ciel étant couvert, je n’ai rien pu prédire, mais les surprises c’est pas plus mal.

Tristan

23 janvier 2008

Aux armes citoyens

Il ne s’agit pas ici d’écrire un énième pamphlet contre la politique menée aujourd’hui par notre Président et son gouvernement. Chacun de vous aura certainement déjà eu l’occasion de se faire son propre opinion à ce sujet en tirant le meilleur, je l’espère, de sa médiatisation. Ceux qui n’ont pas d’opinion ou ne veulent pas s’en faire l’on probablement décidé, d’autres encore ont une opinion sans l’avoir choisi et peut-être même sans en avoir pris conscience. La polarisation de notre société pour ou contre Nicolas Sarkozy est telle qu’il devenu bien difficile de se garder de prendre parti. Il est d’ailleurs inquiétant que se soit la personne, plus que les idées qui provoque le rejet ou l’adhésion à sa politique, mais ce n’est pas le sujet que je souhaite aborder ici.

Je vous écris en ce début d’année car c’est, paraît-il, la période des bonnes résolutions et quelques fois il suffit simplement de se le dire pour le faire. Certains, et statistiquement un peu moins de la majorité, penseront que notre société est aujourd’hui en danger du fait des reformes du droit du travail, des droits sociaux, des atteintes aux libertés individuelles, de la manipulation des médias, de la culture du résultat. Sans parler de la politique étrangère dont les objectifs purement pragmatiques semblent dénués de vision à long terme et de morale, en témoigne les programmes de vente d’armement ayant pour but bienfaisant de relancer l'économie. Or, bien qu’il soit devenu banal de renvoyer quelqu’un dans un pays en guerre ou touché par la famine, demeure dans le droit français, et surtout dans les devoirs, le principe de « non-assistance à personne en danger ». Nous nous rendons tous les jours coupables de non-assistance à personne en danger, qu’il s’agisse du malien qui meurt aujourd’hui dans le Sahel ou du français qui mourra demain dans une porte cochère. Je ne prône pas la cause humanitaire : non pas que je sois contre, mais je la considère plutôt comme un pansement sur une plaie qui s’ouvre de jour en jour qui n'a pas pour but de s'attaquer à la racine des maux.

Le problème est politique, donc la solution est politique. Ceux qui m’auront compris et que j’aurai peut-être convaincus penseront comme moi que l’opposition est décimée, corrompue ou même les deux. Il est effectivement difficile de s'engager lorsque personne ne semble représenter vos opinions et vos convictions profondes. Mais heureusement nous sommes jeunes et nous sommes plus que jamais concernés par l’évolution de notre société. C’est pourquoi nous devons prendre une part active dans sa construction. Si les discours que nous entendons ne nous reflètent pas, nous devons faire entendre notre voix pour qu'ils changent et que nous soyons représentés. Nous devons investir les organismes qui jouent un rôle politique dans notre pays pour peser dans les choix de société qui sont et qui seront décidés. C'est un droit dont trop peu de peuples jouissent pour l'abandonner. La dépolitisation des jeunes profite à ceux qui défendent des intérêts plutôt que des idées. Ceux qui estiment que notre société est aujourd'hui en danger se doivent de réagir, eu égard au principe de non-assistance à personne en danger. Ces personnes seront nos enfants. C’est pourquoi à mon sens il devient urgent d’agir, de s'investir et de défendre en priorité les trois principes qui sont la base et la devise de notre République : Liberté, Égalité, Fraternité.

Brice

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